• Egypte ancienne - Chapitre 6

    -Geôle-

    Princesse...

    A. Tess, tu es là ! Ils t’ont arrêtée aussi ?
    B. Ah d’accord, je comprends tout ! C’est toi qui m’a dénoncée, hein ?

     

    Oui, princesse, hélas ! Et je n’ai pas pu vous prévenir… / Pas du tout, princesse ! Au contraire, j’aurais souhaité vous prévenir…

    A. Qu’est-ce qu’on va devenir ?
    B. Tu sais ce qu’on risque ?

     

    Qu’a-t-il voulu dire à propos de votre pendentif, princesse ? Il vous permet de vous échapper ?

    A. Oui, d’une certaine façon… Tu n’as pas remarqué ?
    B. Hé oui, je ne suis pas d’ici, moi !

    C. Laisse tomber, servante, c’est pas ton problème.

     

    C’est le bourreau qui vient nous chercher, princesse !

    A. Ah oui, tu crois ? Moi je dirais plutôt que c’est le chat qui a accompli sa mission !
    B. Mais non, idiote ! C’est des combats qu’on entend !

     

     ▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁

     

    -Geôle-

    Cependant nous pourrions adoucir votre peine si vous nous avouez tout ce que nous désirons savoir.

    A. On ne sait rien de toute façon.
    B. On ne parlera pas !
    C. Qu’est-ce que vous voulez savoir ?

     

    C’était un héros, avant que ne lui vienne l’idée saugrenue de faire évader ce prisonnier qui ne représente rien pour lui. Qui lui a mis cette idée en tête ? C’est vous, Princesse ?

    A. Oui c’est moi. Amon ne me refuse rien.
    B. Et qu’est-ce qu’il représente pour vous, ce prisonnier ?
    B. Je ne répondrai qu’en présence de mon avocat !

     

     ▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁

     

    -Geôle-

    A. Tess peut venir avec nous, Amon ? Positif Tess
    B. Je ne pars pas sans Tess, Amon ! Positif Tess
    C. Ce serait inhumain de la laisser là, non ? Positif Tess

     

    -Entrée du Donjon-

    La flamme divine de votre regard me confère une énergie surnaturelle ! Mais pour le moment nous devons fuir et nous cacher !

    A. Où allons-nous, mon beau héros ?
    B. Toujours de belles paroles avec toi.

     

     ▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁

     

    -Grotte-

    Oui, mais j’aimerais tant être ailleurs…le revoir une nouvelle fois...

    A. Ben quoi ? On vous a délivré, mais vous ne savez pas retourner chez vous, c’est ça ?
    B. Je n’ai pas de solution pour vous, Ahmed. Je suis désolée…


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