• Egypte ancienne - Chapitre 2

    -1er repos-

     Princesse, vous m'entendez ?

    A. Oh non, pas encore toi !
    B. Oui, qu’est-ce qu’il y a ?

     

     Je vais vous attendre dehors, princesse...

    A. Non, venez avec moi, j’ai besoin de vous – vous êtes mon amie !
    B. Vous avez raison, allez faire le guet. Si l’on vous surprend, je souhaite que vous expliquiez aux gardes que c’était votre idée.

     

    -Repos dans l'hélicoptère-

     Bonjour princesse !

    A. Bonjour mon amie ! Vous m’aviez manqué !
    B. Mais pourquoi faut-il que tu squattes perpétuellement ma chambre ? Va donc ailleurs, pouilleuse !

     

     Ce pauvre malheureux ? Oh non, princesse. Grâce à Dieu, nous avons réussi à échapper au commandant-seigneur de la ville, et le pharaon n’a rien appris de notre incartade.

    A. C'est très bien ! On fait un bon duo ensemble, vous ne trouvez pas ?
    B. Oui, enfin mais ne t’enflamme pas ! Ne t’avise pas d’aller à cafter tout ça au pharaon, hein, pouilleuse ?

     

     Sinon, Amon est désormais à votre disposition. Souhaiteriez-vous le recevoir ?

    A. Pourquoi ne me l’as pas tu dis plus tôt ? Ta présence m’incommode déjà bien assez !
    B. Oh oui servante, s’il vous plaît ! Vous pouvez écouter à la porte notre discussion, si vous voulez !

     

     ▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁

     

    -Repos dans l'hélicoptère-

     Mais si j’ai sonné la révolte, princesse, c’est parce que je pensais à vous !

    A. Oh, comme c’est romantique ! Je suis fier de vous, Amon !
    B. Ah ah ! J’en parlerais à Mr. Thiel, qu’il rajoute ça dans la légende ! C’est grâce à moi !

     

     Histoire de mettre fin à cette guerre une bonne fois pour toutes et rester à vos côtés jusqu’à la nuit des temps !

    A. Même si je comprends que penser à moi vous aide à combattre, vous devez réaliser que je ne suis pas vraiment intéressée par vous, Amon...
    B. Mais pourquoi ne restez-vous pas à mes côtés, Amon ? Vous avez déjà rempli votre part dans la guerre, non ?

     

     Mon destin est grandiose, je le sais ! Ne le savez-vous pas ?

    A. Oh oui, cela est certain, vous triompherez de tous les dangers !
    B. Mr. Thiel ne nous a pas encore raconté toute l’histoire, alors j’ai un doute...


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