• -Chez Herbert-

    A. Viens Maryline, on va faire un tour.
    B. Alors ? Ça n'existe que dans les légendes ?

     

    -Londres-

    A. Il faut que tu arrêtes de t'emballer sur les promesses de liberté et de toute-puissance de la Reine du Temps. Ce ne sont que des mensonges, de la tromperie, un leurre qu'elle agite devant nos yeux.
    B. Maryline, quel camp tu veux choisir ? Le mien et celui d'Héléna, ou celui de la Reine du Temps ?
    C. Tu sais que c'est pas mon genre de jouer les trouble-fête, mais là je dois te dire de faire sérieusement gaffe, Maryline : tu es en train de tomber dans les filets de la Reine du Temps.

     

    Hum... --, tu crois que la Reine du Temps pourrait le ramener avec nous ?

    A. Parce que tu penses que la Reine du Temps va gentiment nous ramener chez nous, après qu'on aura fait un peu de tourisme ici ?
    B. Ah oui ? Tu veux lui demander ? En échange de quoi ? Ruiner la vie de quelqu'un ? Déclencher une guerre ? Répandre la peste ?
    C. À mon avis, c'est elle qui a envoyé Oscar ici, et non les Palentir. Oscar ne reviendra – ou pas – que selon son bon vouloir.


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  • -Chez Thiel-

    Ça tombe bien, ce n'est pas lui que je viens voir en fait. C'est vous.

    A. Nous... ou moi ?
    B. À quel sujet ?
    C. Tu n'as pas répondu à la question de Mathilde : comment tu nous as trouvés ?

     

    Hum, vous tous, vous m'avez reconnu, n'est-ce pas ? Vous n'avez pas fait semblant ?

    A. Bien sûr qu'on ta reconnu, James. Comment t'oublier ! C'est juste que Thiel doit être dans une ligne temporelle légèrement décalée par rapport à la nôtre...
    B. Aïe, je pressens là un nouveau décalage temporel... La reine du Temps doit être encore en train de déformer la trame !

     

    A. À propos de visite, je m’apprêtais à partir, moi... James, tu ne repars pas tout de suite ? On va se revoir ?
    B. Tu ne joues pas du tout les trouble-fête, quelle idée !


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  • -Chez Thiel-

    Si tu retournes dans le passé, je peux venir avec toi ?

    A. Je ne vais pas loin, juste dire bonjour à Abdel... Ça te dérange, Jared ?
    B. Pas tout de suite, Charlie. Là je vais juste voir Abdel.
    C. Je ne pars pas longtemps, j'ai trop envie de bavarder avec James !

     

    -Marché-

    -- ! Je craignais que t'aies encore disparu, tu avais dit que tu revenais vite...

    A. Tiens, c'est à toi que je manque maintenant ?
    B. J'ai dû faire un détour. Tu me cherchais ?
    C. Mais toi, qu'est-ce que tu fais dehors ? Tu n'arrives pas à dormir ?

     

    Moi je veux bien me sacrifier, du moment que je retrouve Oscar, ici ou dans le passé. Au moins, il ne sera plus tout seul... et moi non plus !

    A.  C'est tout à ton honneur, Charlie. Mais sache que c'est risqué. Très risqué.
    B. Tu voudrais rejoindre Oscar à Londres en 1883 ? Tu as une idée des conditions de vie à cette époque ?

     

    -Sortie Palentir-

    A. C'est admirable, ce que tu fais pour ton ami, Charlie.
    B. Ce n'est pas du tout garanti que tu vas retrouver Oscar, tu sais.

     

    -Devant le bâtiment d’aréologie-

    [...]

    A. Ouais... Il y a un truc bizarre ici je trouve...
    B. Si, si... Heu...

     

    -Tour Palentir-

    [...]

    A. Je ne sais pas... Même l’hôtesse d’accueil n'est pas là !
    B. Hum... On devrait peut-être faire demi-tour...

     

    A. Charlie... Ce n'est pas la première fois que je viens, tu sais. Et bien sûr qu'on continue.
    B. Ah, le courage de l'ignorance... Ok, allons jusqu'au bout.


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  • -Chez Abdel-

     Elle... elle ne va pas bien...

    A. Fatima est malade ? Je peux entrer quand même ?
    B. Aïe ! Rien de grave j'espère ?
    C. Ah ! C'est pour ça que tu fais cette tête ? Je croyais que t'étais pas content de me voir !

     

    A. Depuis quand elle est comme ça ?
    B.  Abdel, je retourne voir Héléna, il faut que je la mette au courant. Et puis décemment, je ne peux pas rester chez toi...
    C. Pauvre Abdel... C'est dur ce qui t'arrive, mais je suis avec toi...

     

     ▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁

     

    -Chez Abdel-

    Ah, --... Je suis contente de te voir une dernière fois...

    A. Allons, Fatima, ne dites pas de bêtises ! Une femme forte comme vous ! Vous allez vous en remettre !
    B. « Une dernière fois » ? Vous n'en êtes pas à ce point-là, Fatima, quand même ?!

     

    Oh, il y a plusieurs raisons... Peut-être pense-t-elle que je vais attirer la pitié d'Héléna et qu'ainsi elle va sortir de son trou. Ou bien c'est pour te faire savoir, à toi, que la proposition qu'elle t'a faite est sérieuse et qu'elle n'aime pas qu'on lui résiste. [...]

    A. Comment savez-vous que la Reine du Temps m'a fait une proposition ?
    B. Mais... vous ne pouvez pas défaire ce qu'elle a fait ? Revenir à votre date de naissance normale ?
    C. Vous aussi, Fatima, vous avez combattu la Reine du Temps...


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  • -Chez Herbert-

    A. ... La Reine du Temps ?
    B. Décidément, vous avez de la visite aujourd'hui, Herbert...

     

    ▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁

     

    -Londres-

    Maryline ? -- ? Mais... qu'est-ce que vous faites ici ?

    A. Et toi ?
    B. Bah, on passait par là... C'est vraiment un coup de bol incroyable de tomber sur toi !

     

    Là-bas, à ce carrefour...

    A. Vous allez poireauter une heure à ce carrefour puant et encombré ? Bon courage !
    B. La solution n'est pas là, à mon avis.

     

    ▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁

     

    -Chez Héléna-

    A. Wow, quel vertige ! J'en suis encore toute... Mais – on est chez vous, Héléna ? Dans votre jardin ?
    B. On est revenu dans le présent, là ?

     

    Déjà de retour, -- ?

    A. Oui, je... Il faut que je vous parle, Héléna. C'est grave.
    B. Je viens de chez Abdel... Fatima est chez lui...

     

    ▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁

     

    -Chez Thiel-

    Encore les Palentir, hein ?

    A. Oh là ! Pas tous à la fois ! Vous vous ennuyez sans moi ou quoi ?
    B. Je suis partie longtemps cette fois ?
    C. Jared ! Toujours fidèle au poste !
    D. Euh oui, je suis toute seule...
     

     

    ▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁▁

     

    -Chez Thiel-

    A. Ok, vos histoires de révolution, je vous laisse régler ça entre vous. Moi j'ai d'autres chats à fouetter...
    B. Bon, pendant que vous en discutez entre vous, moi je vais faire un tour.

     


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